Arthur Simony
Offrez-vous de la poésie avec Arthur Simony
Né en 1985, Arthur Simony a suivi des études de stylisme en Belgique. En 2002, il crée sa première installation participative « la vie ne tient qu’à un fil » où le mot « vie » est suspendu par des ficelles accrochées aux branches d’un arbre.
En 2012, Arthur renouvelle son installation rue Pavée dans le 4ème arrondissement puis au Grand Palais dans le cadre de l’exposition collective L’échappée belle.
La même année, il invite le public à décrocher le mot « étoile » du plafond du lieu 37, galerie du 10ème arrondissement, dans le cadre de son installation « Décrocher les étoiles ».
Son travail se rapproche de la poésie. Il rend hommage à Francis Ponge, dont il transcrit le poème « Le galet » sur les galets de la plage d’Etretat.
C’est en 2011 qu’apparaît pour la première fois son personnage Jeanne, plein de charme, référence à l’artiste Jeanne Hébuterne, modèle et femme de Modigliani. Sa Jeanne, femme moderne et assumée, apparaît sur des supports divers et variés.
Aujourd’hui, la poésie est omniprésente dans ses oeuvres.
En 2014, Arthur s’intéresse aux mantras et à l’ho’oponopono, chemin vers la conscience et la paix en et autour de soi. Il réalise des totems, « désolé, pardon, merci, je t’aime », et des dessins, « amour », « la vie est belle » et « merci maman », où les mots se répondent en rythme. Il nous guide vers un état d’être et de penser harmonieux et constructif.
Plus récemment, l’artiste appose des Spirales, Poésies, Prières et Protections sur des toiles, des murs de la ville notamment en soutien à l’incendie de la rue de Trévise dans le 9ème mais aussi sur du mobilier.
Les lettres noires formant l’œuvre sont souvent rehaussées de couleurs vives qui correspondent entre elles.
Elles sont si rapprochées les unes des autres que le texte, dans son ensemble, forme un dessin aux vertus vibratoires.
Le tableau ainsi composé est chargé de sensibilité et d’énergie positive. Il produit, sur l’observateur, un effet irradiant.
L’art d’Arthur Simony fait du bien à celui qui le pratique comme à celui qui le regarde.
